Il est 20 heures, suite au coronavirus Covid-19, le blog rend chaque soir depuis le 25 mars un hommage avec une chanson pour tous les héros en blouse blanche qui combattent pour soigner et préserver des vies face au virus Covid-19. Et aussi pour les victimes du Covid 19 ainsi que leurs proches. Et tous les malades.
Sans oublier non plus, les forces armées française, les pompiers, les pharmaciens, les médecins de villes, les kinésithérapeutes, les boulangers, le personnel des magasins d'alimentation, notamment les hôtes et hôtesses de caisse en première ligne et pas forcément bien protégés, les éboueurs, le personnel des postes, enfin bref, toutes les personnes qui continuent à braver le danger que provoque le virus et font que les services minimums puissent être garantis.
Le but est d'être optimiste et nous espérons que ce rendez-vous journalier durera le moins longtemps possible. Vous pouvez tous y participer. Vous proposez votre chanson et vous pouvez y ajouter un message d'optimisme, c'est aussi le but du rendez-vous. Pour ce faire, utiliser le formulaire de contact dans la colonne de droite du blog.
"Et les mots qui sortent de ma gorge, je ne les connais pas : des morts qu'on a plantés là, des mots que me font mal et qui m'étouffent alors je les crie, je les vomis pour pouvoir respirer, pour vivre..."
Barbara
"C'est grâce à la joie que l'on triomphe des épreuves de la vie et que l'on peut continuer son chemin."
Ce soir, la chanson correspond bien à ce que vive beaucoup de monde actuellement, si elle est sombre, elle finit par une note d'espoir ...
"Le mal de vivre"
Barbara
Le sens de la chanson :
Source vidéo : YouTube. Chaîne : Eduardo Strausser
Pour bien entendre la vidéo, mettre sur pause si besoin le lecteur "Deezer" dans la colonne de droite du blog.
Ça ne prévient pas quand ça arrive
Ça vient de loin
Ça c'est promené de rive en rive
La gueule en coin
Et puis un matin, au réveil
C'est presque rien
Mais c'est là, ça vous ensommeille
Au creux des reins
Le mal de vivre
Le mal de vivre
Qu'il faut bien vivre
Vaille que vivre
On peut le mettre en bandoulière
Ou comme un bijou à la main
Comme une fleur en boutonnière
Ou juste à la pointe du sein
C'est pas forcément la misère
C'est pas Valmy, c'est pas Verdun
Mais c'est des larmes aux paupières
Au jour qui meurt, au jour qui vient
Le mal de vivre
Le mal de vivre
Qu'il faut bien vivre
Vaille que vivre
Qu'on soit de Rome ou d'Amérique
Qu'on soit de Londres ou de Pékin
Qu'on soit d'Egypte ou bien d'Afrique
Ou de la porte Saint-Martin
On fait tous la même prière
On fait tous le même chemin
Qu'il est long lorsqu'il faut le faire
Avec son mal au creux des reins
Ils ont beau vouloir nous comprendre
Ceux qui nous viennent les mains nues
Nous ne voulons plus les entendre
On ne peut pas, on n'en peut plus
Et tous seuls dans le silence
D'une nuit qui n'en finit plus
Voilà que soudain on y pense
À ceux qui n'en sont pas revenus
Du mal de vivre
Leur mal de vivre
Qu'ils devaient vivre
Vaille que vivre
Et sans prévenir, ça arrive
Ça vient de loin
Ça c'est promené de rive en rive
Le rire en coin
Et puis un matin, au réveil
C'est presque rien
Mais c'est là, ça vous émerveille
Au creux des reins
La joie de vivre
La joie de vivre
Oh, viens la vivre
Ta joie de vivre
***
Toujours un plaisir chaque soir de venir sur le blog. Vous avez mis en place un rendez-vous que je ne manque jamais et j'imagine que c'est de même pour beaucoup de lecteurs. Ce soir, le thème est sombre à l'image du soir où vous aviez fait le choix de proposer "tous les cris des S.O.S". Je ne sais pas si Jean-Philippe à fait le choix de cette chanson lui-même et au moment où il a commencé à être malade cela ne me surprendrait pas vu le texte de présentation de la chanson, ou ensemble ou à la demande des lecteurs. Prompt rétablissement à lui.
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