samedi 14 mars 2015

Mireille Mathieu à Stuttgart. 10 mars 2015. (Traduction)


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Une femme qui ne regrette rien
Mireille Mathieu a donné un concert mardi soir à Stuttgart. La chanteuse (68 ans) fête ses 50 ans de carrière en chantant un mélange de pop et de chanson.

Stuttgart : d'innombrables bouquets de fleurs remis mardi soir à Mireille Mathieu. Mireille  n`avait même pas encore fini sa chanson, mais les spectateurs avec des bouquets de fleurs commençaient à s`approcher doucement de la scène. Mireille reçoit des fleurs, sourit, parle un peu avec son public. Elle est venue dans la salle Beethoven à Stuttgart pour fêter ses 50 ans de carrière. Mireille chante ses plus grands succès qui sont restés jeunes malgré le temps passé. La chanteuse est accompagnée par un orchestre de 14 musiciens et par sa maman qui est venue rejoindre sa fille presque à la fin du spectacle. Le public salue Madame Marcelle qui apparaît sur scène dans la lumière des projecteurs pour embrasser sa célèbre fille.

Mireille a débuté en 1964, après la disparition d`Edith Piaf.
Comme Edith, Mireille vient d`une famille modeste. Elle porte souvent sur scène des robes noires, à moitié-longues ou longues. Edith mesurait 1m47, Mireille fait 1m53. Edith Piaf était l'idole de toujours pour la jeune Mireille. Elle a chanté beaucoup de chansons du répertoire d'Edith Piaf. Ce soir, à la fin du concert, elle chante « Non, je ne regrette rien ».
Aujourd'hui, la voix de Mireille ressemble beaucoup plus à la voix d`Edith. Autrefois sa voix était cristalline, aujourd'hui elle est devenue plus grave, comme enveloppée de velours. Cette voix belle et puissante malgré l’âge comme on n'en trouve plus aujourd'hui dans la chanson.

Ce soir, Mireille chante ses plus grands succès en français et en allemand. Le drame alterne avec les chansons qui apportent la joie et font danser au rythme de la mélodie 1500 personnes présentes ce soir dans la salle.
Certaines chansons nous renvoient dans le passé, comme, par exemple, « Acropolis adieu », « Es geht mir gut, Cheri », « Hinter den Kulissen von Paris », « Santa Maria », « Martin » et « Der Tango von Paris ». On peut aussi entendre une belle chanson moderne dans un style très rock avec un rythme rapide « Ce n`est rien ». La chanson « Der Zar und das Mädchen » apparue pour la première fois en 1975 est toujours aussi merveilleuse qu'avant.

Mireille chante aussi un medley en langues étrangères seule à côté du piano. Il commence par « Over The Rainbow ». Une lumière verte monte derrière l`orchestre et nous plonge dans une ambiance de voyage à travers le temps. Mireille tend le bras vers le ciel, elle sourit tandis que l'orchestre continue à jouer.
Quand le rideau rouge tombe, l'orchestre continue toujours à jouer. Mireille réapparaît sur scène pour chanter encore une chanson pour son fidèle public qui l`attend.


Traduction par Nadine. Relecture par J-P. © les amis de Mireille Mathieu
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Les photos sur le blog des amis de Mireille Mathieu sont pour une bonne partie ©Abilène disc



Texte original :

Mireille Mathieu in Stuttgart
Die Frau, die nichts bereut
Thomas Morawitzky, 11.03.2015 17:38 Uhr

Mireille Mathieu ist am Dienstagabend in Stuttgart in der Liederhalle aufgetreten. Die 68-Jährige, die in diesem Jahr ihr 50-Jahr-Bühnenjubiläum feiert, sang einen Mix aus Chanson und Schlager.

Stuttgart - Wie viele Blumen ihr überreicht werden am Dienstagabend! Niemals beendet sie ein Lied, ohne dass schon ein Verehrer vor der Bühne mit einem großen Strauß wartet. ­Mireille Mathieu nimmt ihn entgegen, lacht, trägt die Blumen von der Bühne, kehrt ­zurück. Sie ist nach Stuttgart in den Beethovensaal der Liederhalle gekommen, um ihr 50-Jahr-Bühnenjubiläum zu feiern. Sie singt alte Lieder, noch ältere, aber auch solche, die jung klingen. Sie wird begleitet von einem 14-köpfigen Orchester – und von ihrer Mutter: Das Konzert geht seinem Ende entgegen, als Mireille Marcelle auf die Bühne holt, eine alte Dame ins Rampenlicht tritt und sich von ihrer berühmten Tochter auf die Wange ­küssen lässt.

Die Karriere der Mireille Mathieu begann im Jahr nach dem Tod Edith Piafs, 1964. Wie diese stammt Mathieu aus ärmlichen Verhältnissen, wie Piaf tritt sie bis heute auf in schwarzen Kleidern – ein halblanges ist es zunächst, ein langes ist es dann später am Abend. Edith Piaf maß 1,47 Meter, bei Mireille Matthieu sind es 1,56 – die Ähnlichkeiten sind groß. Edith Piaf wurde für Mireille Mathieu zum lebenslangen Vorbild. Viele ­Piaf-Stücke nahm sie in ihr Repertoire auf – am Dienstagabend singt sie, ganz zuletzt, bevor der Vorhang fällt, „Je ne regrette rien“: Ich bereue nichts.

Mireille Mathieus Stimme ähnelt heute mehr denn je der von Edith Piaf: Einst war sie glockenhell, heute ist sie gedunkelt. In seltenen Momenten hört man dieser Stimme das Alter an, fast immer jedoch klingt sie so kraftvoll wie einst, von großem Volumen, tremolierend voller Leidenschaft – eine Stimme, wie man sie heute im Schlager nicht mehr findet.

Und den Schlager bedient Mireille ­Mathieu noch immer: In ihrem Konzert mischt sie ihn mit dem französischen Chanson, das große Drama wechselt mit dem fröhlichen Glamour vergangener Hitparaden, bei dem die 1500 Besucher, die den Beethovensaal füllen, kräftig den Rhythmus klatschen können. Mireille Mathieu entführt sie in die Vergangenheit, mit Liedern wie „Akropolis adieu“, „Es geht mir gut, Cheri“, „Hinter den Kulissen von Paris“, „Santa Maria“, „Martin“ und „Der Tango von Paris“, gibt aber immer wieder auch dem französischen Chanson Raum. Das Stück „Ce n’est rien“ kommt als verblüffend zeitgemäßer Rocksong mit schnellem Rhythmus und Gitarrenriff daher, „Der Zar und das Mädchen“, ein Dauergast der deutschen Hitparade des Jahres 1975, klingt dagegen noch immer so zart wie ehemals.

Ein Medley, bei dem Mireille Mathieus Stimme nur vom Flügel begleitet wird, ­beginnt mit „Over The Rainbow“: Ein wenig grüner Rauch steigt dabei hinter dem ­Orchester auf, auch Humor spielt leise auf dieser gelungenen Zeitreise mit. Die Bühne ist diskret in weichen Farbtönen ausgeleuchtet, Mireille Mathieu strahlt vor diesem Hintergrund: Sie hebt die Hand gegen das Licht und spreizt die Finger, breitet die ­Arme weit aus und lacht. Ein kleiner Chor begleitet sie, der sichtlich auf den Melodien schwebt, ein Streichorchester mit einem ­Dirigenten und der Bassist der Band spielen für die Ewigkeit.


Dann verschwinden Orchester, Chor und Band hinter einem roten Vorhang, spielen aber weiter: Noch einmal teilt sich der Vorhang, Mireille Mathieu tritt hervor und singt, ihre Fans stehen längst vor der Bühne.



2 commentaires:

  1. Pensez-vous traduire aussi les deux articles suivants : "Mireille Mathieu kämpft mit vieil Disziplin gegen die Einsamkeit" et "Mireille Mathieu in der Stuttgarter Liederhalle" Merci. Votre travail me permet comme à des dizaines de milliers de fans francophones de comprendre les articles allemands. Tout le monde ne parlant pas cette langue et loin de là. Et les traducteurs, j'ai fait une tentative avec les deux titres que je demande. Totalement incompréhensible.

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    1. Le premier à Munich n'apporte rien de spécial, et ce n'est pas la comparaison entre les statistiques du plus grand nombre de bouquets, 41 en moyenne chaque soir à Paris contre 17 et 2 roses à Munich, qui apporte grand-chose de très intéressant en plus. Pour le suivant, on se demande si la personne (ou les) qui a écrit l'article était dans la même salle que d'autres fans, car pour Stuttgart l'article parle d'une salle pleine de trous... Et de deux fans un Suisse et un Français qui lui je cite : "affiche fièrement une photo de lui, Mireille et sa maman,"et ça sur un ton moqueur le mot étant faible. Et d'autres petits pics !

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